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  1. HORAIRES DE CHABBAT : PARACHAT MICHPATIM
  2. ROCH HODECH ADAR
  3. PUBLICATION DE DEUX MANUSCRITS INEDITS
  4. ENCHERES
  5. LA BENEDICTION DU PERE A SES FILS

1. CHABBAT MICHPATIM 

1.1. HORAIRES DE CHABBAT (horaires de Paris)

PARIS : Entrée : 18h00 / Sortie : 19h10

1.2. BENEDICTIONS DU MOIS

  • Annonce de Roch Hodech Adar

2.  ROCH ‘HODECH ADAR

– Jeudi 27 février 2025, veille de Roch Hodech Adar : visite au cimetière

– 2 jours de Roch Hodech :

  • jeudi 27 février 2025 au soir et vendredi 28 février 2025 (1er jour)
  • vendredi 28 février 2025 au soir et samedi 29 février 2025 (2ème jour)

3. PUBLICATION DE DEUX MANUSCRITS INEDITS

3.1. PARUTION DE KLILAT YOFFI (commentaires sur le Livre d’Esther), première édition d’un manuscrit inédit écrit par Rebbi Yossef GUEZ 1er du nom (harichone) de mémoire Bénie (1793-1853), Rabbin à Tunis.

Il est également auteur du Pi Hamdaber, du Zer Zahav sur le Zohar et de nombreux manuscrits encore inédits.

Cette publication dont l’iitiative revient à Daniel Hababou-Sala (descendant de ce rabbin) a été rendue possible grâce à sa participation, à celle du CFJT et de ses donateurs, et au travail du Rav Moché Didi.

3.2. PARUTION DE TSEDAKA WEHARAMIM écrit par Rebbi Massoud BOUKOBZA originaire de Gabès et Rabbin à Sfax, également à partir d’un manuscrit inédit.

4. ENCHERES : WAYOSSEF AVRAHAM DE REBBI AVRAHAM HAKOKEN (AVRACH)

Très importante enchère emportée par le CFJT

Ouvrage complet et inédit : VaYosef Avraham de Rebbi Avraham HaKohen connu sous le nom de « Avrach », et qui faisait partie des hakhamim de Djerba dans les années 1800 !

Il s’agit d’un grand manuscrit de plus de 400 pages, VaYosef Avraham, contenant des explications et des idées sur divers concepts dans tous les domaines de la Torah, compilées à partir de divers sefarim avec des ajouts de l’auteur.

Écrit et signé par l’auteur, le Gaon Rabbi Baruch Avraham HaKohen (Avrach), l’un des plus grands hakhamim de Djerba et l’oncle maternel du « Raavad » Rabbi Moshe Khalfon HaKohen.

L’ouvrage est essentiellement une encyclopédie classée par ordre alphabétique, contenant de nombreuses entrées sur les concepts de la Torah. Pour chaque entrée, l’auteur a rassemblé diverses sources traitant du sujet.

Tout au long du sefer, on trouve de nombreux passages originaux de l’auteur lui-même, ainsi que des passages tirés des hahamim de Djerba de sa génération, tels que Rabbi Haim Houri (le Second) et Rabbi David HaKohen. Sur ces passages, il a signé avec ce texte (abrégé) : Ceci semble correct à mon humble avis, Toi en qui l’orphelin trouve miséricorde, et si j’ai erré, que le bon Hachem me pardonne.

Cet important manuscrit a été mentionné il y a plus de cent ans dans le sefer « Shalom David » Vol. 2 (Djerba, 1916) par son ami Rabbi David HaKohen. Quelques passages isolés de ce volume ont été imprimés dans ce sefer, comme mentionné dans l’introduction.

La grande majorité de ce manuscrit n’a jamais été publiée !

Rabbi Baruch Avraham HaKohen était l’un des principaux talmid de Rabbi Haim Houri le Second (comme mentionné à la page 107 du manuscrit) et un ami proche de Rabbi David HaKohen Gedisha, auteur de « Shalom David ». Il était l’arrière-petit-fils de Rabbi Nissim HaKohen, auteur de « Ma’aseh Nissim » (Tunis, 1895). Voir à son sujet : Sefer Malchei Tarshish, section Kohen, lettre 5.

Son neveu, le Gaon Rabbi Moshe Khalfon HaKohen, « Raavad » de Djerba a imprimé une petite partie de ce manuscrit dans le Sefer Shalom David.

5. HAZANOUT ET PRIERES

LA BENEDICTION DU PERE A SES FILS

Nous avons à coeur de transmettre à nos enfants la liturgie tunisienne et nos usages. Lorsque vous ouvrez de nombreux Sidourim, vous trouvez pour la bénédiction du père à ses fils le texte de la Birkat Cohanim.

Or, la bénédiction traditionnelle contient deux psoukim de la Torah, ci-après reproduits en hébreu, phonétique et français.

« Hammalakh, hagoël » est le début d’un verset qui fait allusion à l’ange qui se tient en permanence à nos côtés et qui nous garantit une protection divine (Béréchit 48,16).

« Ben Porat Yossef » est le début de la bénédiction qu’a faite Yaacov avant sa mort à son fils Yossef (Béréchit, 49, 22). Le mot « porat » se rattache à la racine hébraïque qui signifie « porter des fruits », « être fécond ». L’expression est donc une bénédiction de fécondité et de fertilité.

Elle se termine par « Ben Porat alé ayin » ou « Ta grâce se pose sur l’œil qui te regarde » qui, au niveau allégorique, signifie qu’il s’élève au-dessus du mauvais œil, l’ayin hara, qui veut lui nuire.

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Cette bénédiction récitée par les pères de familles en Tunisie pour bénir leurs enfants après la birkat cohanim est en train de tomber en désuétude.

Pour vous permettre d’apprendre les deux derniers versets, voici un enregistrement du Rabbin Isaac Kalfon, fils de Rebbi Yomtob Kalfon zatzal (1899-1977), bénissant son fils Yomtob, avocat et homme politique israélien.

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